Des chercheurs de l’INRAE montrent qu’une telle taxe sur l’alimentation à domicile accentuerait les inégalités nutritionnelles.
Elle augmenterait le budget des ménages dédié à la consommation (avec une moindre incidence sur les ménages riches). Les politiques fiscales visant à diminuer les effets environnementaux des produits consommés ne peuvent donc pas reposer exclusivement sur une action monétaire. Elles devraient être accompagnées d’un ensemble de mesures socio-économiques aptes à garantir leur faisabilité.
Par exemple ? Le soutien au ménages défavorisés afin de sélectionner des produits ayant un moindre impact environnemental. Une opportunité d’action pour les villes ?