La crise sanitaire a renforcé l’intérêt fort et la bonne image dont bénéficient les circuits alimentaires “courts” ou “locaux” comme alternative aux canaux d’approvisionnement urbains classiques.
Pourtant, les résultats d’une étude qualitative menée auprès d’acteurs des circuits courts montrent que des défis restent à résoudre pour assurer leur durabilité économique et environnementale.
La réduction du nombre d’intermédiaires peut, par exemple, impliquer à la fois une charge de travail accrue pour les producteurs et une fragmentation peu durable des flux logistiques.